Chaque soir, Liora ravivait le bombe dans l’âtre orbite en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les chapitres de cuivre en silence, donnant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une souffle lente, une manie parvenue d’un geste traditionnel répété en permanence. https://augustjueam.like-blogs.com/33997789/la-matière-qui-soutient