Les spores du Namtar flottaient chaque jour dans l’atmosphère moite de la forêt, suspendues entre les couches de vie et de brouillard. Invisibles à bien l’œil nu, elles dessinaient des schémas complexes dans l’air, modifiant l’état perceptif de ce qui les respiraient. Dans un borne distinct, autour de quelques clairières, https://cesarctdls.vblogetin.com/39818301/les-filaments-du-savoir