Florence s’éveillait marqué par un ciel voilé de cendres. Le Grand Bûcher, consumé conjointement la nuit, laissait arrière lui une vie recouverte d’un manteau de suie. L’odeur persistante du feuille brûlé flottait une nouvelle fois l’air, pensant aux habitants la purification imposée par l’Inquisition. Mais au-delà des cendres, une rumeur https://fional911wrj5.iyublog.com/33226674/l-embrasement-de-la-destinee