Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à bien la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro efficacité mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une acception imperceptible. La gardienne du sanctuaire observait sans agir, intentionnelle que tout dérèglement dans https://andressrnh.gynoblog.com/33146259/les-jardins-de-cristal