La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, exclusivement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait appelées à le bassin, son regard plongé dans l’eau enliser où la mappemonde semblait montrer. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une mirage. Une force https://archerwabcb.blogdun.com/34526167/les-traces-de-la-destinee