Le vent hurlait via les hautes lyon de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assistance de composition, un moine s’éclairait à la éclairage vacillante d’une chandelle. La billet était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://andresfbung.wikigiogio.com/1339941/les_noms_tracés_du_sang