Le manoir se dressait, assujettissant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les chemins envahies par les ronces, une composition de verre et métallisé résistait encore au années : une serre oubliée, dissimulée postérieur un mur de végétation sauvage. Julien, https://reidsaals.onzeblog.com/33801305/le-jardin-des-ombres-statiques