La forêt marécageuse s’étendait sur des kilomètres, noyée dans une brume épaisse qui flottait au-dessus des eaux stagnantes. Sous la voûte des arbres noueux, les obscurcissements semblaient s’étirer, s’animer au moindre frémissement du vent. sandrine avançait lentement sur le sentier boueux, ses bottes s’enfonçant mollement à bien chaque pas. Depuis https://marcomyekn.blogminds.com/l-éveil-du-bayous-30962091